La gendarmerie a interpellé 14 personnes en France et saisi plus de 1000 contenus pédopornographiques circulant sur internet, en Novembre, pendant le deuxième confinement.
Parmi les 14 interpellés, 3 ont déjà été condamnés à une peine d’emprisonnement, explique la gendarmerie dans un communiqué. Actuellement 8 autres sont en attente de leur jugement et 3 ont été présentés à un juge d’instruction. Un suspect étranger a aussi été identifié.
L’opération, qui s’est déroulée la semaine du 16 Novembre, a eu lieu alors que le contexte sanitaire exceptionnel dû à l’épidémie de COVID-19 est « apparu propice à une augmentation de l’activité des auteurs d’agressions sexuelles sur mineurs via internet », ajoute la gendarmerie.
Mobilisation des cyber-enquêteurs des unités de recherches
Les investigations ont été coordonnées par le C3N, le centre de lutte contre les criminalités numériques de la gendarmerie, en lien avec Europol et le centre national d’image pédopornographiques (CNAIP).
Boum merci aux enquêteurs ! Une fin proche des « capés » du sexe ? :/
Une bonne chose surtout qu’aujourd’hui nos jeunes sont touchés par ça…