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Ce Lundi 17 Janvier, une vaste campagne de fouilles commence près de Cagnac-les-Mines (Tarn), où vivait Delphine Jubillar, disparue dans la nuit du 15 au 16 Décembre 2020. Les enquêteurs vont notamment s’intéresser au secteur de la ferme, évoqué par Cédric Jubillar à l’un de ses codétenus.
Les forces de l’ordre ont l’autorisation de fouiller les alentours
Les fouilles vont durer plusieurs jours, sur une zone étendue, avec les moyens de la fouille opérationnelle spécialisée du 17e régiment de génie parachutiste.
Les gendarmes ont l’autorisation de fouiller les alentours du 17 Janvier au 17 Février 2022. Différentes fouilles ont déjà été menées dans cette zone.
Un codétenu de Cédric Jubillar a assuré aux gendarmes qu’il lui aurait confié des informations
Un codétenu de Cédric Jubillar, sorti de prison à l’automne, qui a assuré aux gendarmes qu’il lui aurait confié avoir enterré le corps de Delphine dans un endroit qui a déjà brûlé, sans plus de précisions.
Le codétenu a dit aux enquêteurs que Cédric Jubillar redoutait l’arrivée de l’hiver, mentionnant le risque que la dépouille puisse réapparaître au gré des aléas de la nature. Il aurait ajouté qu’il aurait confié que sa nouvelle petite amie, savait où était cadavre de sa femme.
Il reste en détention, la nouvelle demande de remise en liberté rejetée
Cédric Jubillar est mis en examen pour homicide volontaire dans cette affaire et est en détention provisoire à la maison d’arrêt de Seysses-Toulouse (Haute-Garonne) depuis Juin 2021, mais il a contesté ces accusations.
Il multiplie les demandes de mise en liberté. Ce Vendredi 14 Janvier 2022, la justice a confirmé le rejet de la nouvelle demande.