Il a aidé à l’évacuation de l’ambassade de France à Kaboul. Un Afghan rapatrié en France a été placé sous surveillance par la DGSI (Direction Générale de la Sécurité Intérieure) avec 4 de ses proches. Il est accusé d’être proche des talibans. L’information a été confirmée par le Ministre de l’Intérieur sur les réseaux sociaux.
Ils font l’objet d’une mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance, prévue dans le cadre des lois antiterroristes.
Il aurait reconnu son appartenance au mouvement
L’homme, placé à l’isolement à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) pour des raisons sanitaires, aurait reconnu son appartenance au mouvement et aurait admis avoir porté des armes en tant que responsable d’un barrage taliban à Kaboul.
Il fait désormais l’objet d’une surveillance stricte de la part des services de sécurité, de même que les 3 hommes qui l’accompagnaient et d’un quatrième homme en lien avec lui.
Plus de 1 300 Afghans
Depuis la mise en place il y a une semaine de l’opération Apagan, lancée au lendemain de la prise de Kaboul par les talibans, la France a rapatrié un peu moins d’une centaine de Français et plus de 1 300 Afghans.
Il s’agirait pour l’heure de cas isolés.