Les premiers décès dans les rangs des gendarmes sont survenus le 9 Janvier à Lyon et Toulouse. Deux militaires ont mis fin à leurs jours avec leur arme de service.
Nous apprenons avec tristesse le décès brutal de deux #gendarmes Vendredi à #Lyon et à #Toulouse. Ces drames, n’ont pas de rapport entre eux. Toutes les pensées et condoléances aux familles et frères d'armes des deux gendarmes. pic.twitter.com/tsrtQENXqb
— Allo17.fr (@Allo17FR) January 10, 2021
Selon le média La Voix du Gendarme, ces deux drames n’ont pas de rapport entre eux si ce n’est l’usage de l’arme de service. Ce sont les premiers décès de l’année pour la gendarmerie.
Comme le relate la source, un major adjoint au peloton motorisé (PMO) de Toulouse s’est donné la mort dans son domicile au siège de la gendarmerie. Il avait 56 ans, était marié et père de deux filles de 27 et 30 ans. Il devait prendre sa retraite à la fin de l’année, d’après l’APNM Gendarmes et Citoyens, qui a annoncé la nouvelle sur son compte Facebook.
Quant au drame survenu à Lyon, il s’agit d’une commandante de la brigade de prévention de la délinquance juvénile (BPDJ) de 53 ans, comme le précise La Voix du Gendarme. Elle a été retrouvée morte dans une pièce inutilisée de la caserne Delfosse. Le média ajoute qu’une lettre aurait été découverte chez elle. Le média indique qu’elle était divorcée et avait un enfant.
Des enquêtes ont été ouvertes malgré le fait que les suicides ne fassent aucun doute.
La Voix du Gendarme souligne qu’en 2020 près de dix suicides ont été enregistrés parmi les militaires. C’est le chiffre le plus bas depuis 2010.
Toutes les pensées et condoléances aux familles et frères d’armes des deux gendarmes.
Je présente ce soir mes condoléances aux familles et frères d’armes des deux gendarmes. Une triste nouvelle en ce début d’année déjà pas très rose.